Agir pour le climat

Lutte contre le changement climatique, lutte contre la pauvreté

Oxfam soutient l’action climatique et travaille avec ses partenaires pour que la voix des communautés touchées par les changements climatiques soit entendue dans les négociations et les discussions internationales afin de limiter le réchauffement de la planète et d’aider les personnes vivant dans les pays en développement à s’adapter.

Nous travaillons avec les communautés locales pour renforcer leur résilience face à la crise climatique.

Par exemple, dans le nord de l’Éthiopie, où les sécheresses sont plus fréquentes et plus graves, nous avons mis en place avec nos partenaires un système de microassurance pour les petits exploitants agricoles. En Afrique du Sud, nous avons installé des panneaux solaires dans des écoles pour montrer au gouvernement comment les solutions hors réseau réduisent les émissions et les coûts d’électricité.

Nous répondons également aux urgences liées au climat dans le monde entier.

Rien que l’année dernière, avec nos partenaires, nous avons fourni une aide humanitaire à des centaines de milliers de personnes victimes d’inondations, de tempêtes et de sécheresses meurtrières. Par exemple, après le cyclone Idai, qui a laissé plus de 2,2 millions de personnes dans un besoin urgent d’aide humanitaire en 2019, nous avons aidé à fournir de l’eau potable, des installations sanitaires et des kits d’hygiène à plus de 500 000 personnes. En savoir plus !

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En choisissant de faire un don mensuel régulier, vous nous aiderez à planifier et à améliorer nos actions à long terme. Un don régulier nous permet de planifier l’avenir car nous savons, jour après jour, que nous aurons un flux de revenus réguliers sur lequel nous pouvons compter.

C’est l’assurance de notre indépendance financière !

Ces dons réguliers ont également un autre avantage non négligeable : ils sont non affectés, c’est à dire qu’ils permettent de financer toutes les activités mises en œuvre par l’association, et non un projet spécifique. Cela permet notamment de financer des projets peu financés par d’autres sources, ou de mobiliser des fonds rapidement en cas d’urgence, pour répondre à une crise humanitaire par exemple, sans attendre l’arrivée des dons ponctuels classiques.

C’est uniquement grâce à la générosité de particuliers que nous pouvons chaque jour assurer notre rôle pour construire durablement un monde plus juste.

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Pueblo de Louda - comuna de Kaya - Burkina Faso.

Alizeta Sawadogo es agricultora. Tiene 55 años, es viuda y madre de 8 hijos. Ella saca agua de un pozo para regar sus cultivos de horticultura en la granja colectiva que le ha otorgado una parcela de tierra.

Toda su vida, Alizeta ha practicado la agricultura y cultivado cereales. Pero los rendimientos se han vuelto cada vez más bajos debido a los efectos del cambio climático. Las estaciones están cambiando gradualmente. Cada vez hay menos lluvia y la estación seca es más larga e intensa.

Con el apoyo de las ONG ATAD y OXFAM, Alizeta ha aprendido técnicas de horticultura para diversificar sus actividades. Obtuvo un terreno en una finca colectiva administrada por ATAD. La finca mide dos hectáreas, equipada con 4 pozos.

50 mujeres trabajan en el sitio. Cada uno tiene su propia parcela de tierra, pero trabajan sobre un principio de comunidad.

La ONG ATAD también proporciona semillas.

Alizeta ha aprendido la agricultura ecológica con técnicas respetuosas con el medio ambiente, sin utilizar pesticidas.

Hoy, Alizeta cree que depende menos de los cultivos de cereales. Puede alimentar a su familia durante todo el año e incluso vender parte de su cosecha para cubrir los gastos médicos y las matrículas escolares de toda su familia.

El sitio debe estar vallado en todo su perímetro para proteger los campos de los animales que deambulan y comen los productos.

Los 4 pozos también deben limpiarse porque la presa que da la fuente de agua se está volviendo arenosa y se está secando debido a los efectos del cambio climático.



ENG 
Village of Louda - commune of Kaya - Burkina Faso. 

Alizeta Sawadogo is a farmer. She is 55 years old, widow and mother of 8 children. She draws water from a well to water her market gardening crops in the collective farm that has granted her a plot of land. 

All her life, Alizeta has practiced agriculture and cultivated cereals. But yields have become increasingly low due to the effects of climate change. The seasons are gradually shifting. There is less and less rain, and the dry season is longer and more intense. 

With the support of the NGOs ATAD and OXFAM, Alizeta has learned market gardening techniques to diversify her activities. She obtained a plot of land on a collective farm managed by ATAD. The farm measures two hectares, equipped with 4 wells. 

50 women work on the site. Each one has her own plot of land but they work on a principle of community.  
 
The NGO ATAD also provides seeds.  
 
Alizeta has learned organic farming with environmentally friendly techniques, without using pesticides. 
 
Today, Alizeta believes she is less dependent on cereal crops. She can feed her family throughout the year, and even sell part of her harvest to cover medical expenses and school fees for her entire family.  
 
The site must be fenced all the way around to protect the fields from animals that wander around and eat the produce.

The 4 wells must also be cleaned up because the dam that gives the water source is gradually becoming sandy and is drying up due to the effects of climate change.  


FR
Village de Louda - commune de Kaya – Burkina Faso. 

Alizeta Sawadogo est agricultrice. Elle a 55 ans, veuve et mère de 8 enfants. Elle puise de l’eau dans un puits pour arroser ces cultures maraichères dans la ferme collective qui lui a octroyée une parcelle.

Toute sa vie, Alizeta a pratiqué l’agriculture et cultivaitdes céréales. Mais les rendements sont devenus de plus en plus faibles à cause des effets du dérèglement climatique. Les saisons se décalent progressivement. Il y a de moins en moins de pluies, et la saison sèche est de plus en plus longue et intense. 

Avec l’appui des ONG ATAD et OXFAM, Alizeta a appris les techniques de maraichage pour diversifier ses activités. 
Elle a obtenu une parcelle sur une ferme collective gérée par ATAD.  

La ferme mesure deux hectares, équipé de 4 puits. 
50 femmes travaillent sur le site. Chacune a sa propre parcelle mais elles travaillent sur un principe de collectivité. 

L’ONG ATAD fournit également des semences. 
Alizeta a appris l’agriculture bio avec des techniques respectueuses de l’environnement, sans utiliser de produits phytosanitaires.

Aujourd’hui, Alizeta estime être moins dépendante de la culture céréalière. Elle peut nourrir sa famille tout au long de l’année, et même vendre une partie de sa récolte pour prendre en charge les dépenses médicales et les frais de scolarité de toute sa famille. 
Le site doit être équipé d’une clôture sur l’ensemble du périmètre pour protéger les champs des animaux qui divaguent et viennent manger les productions.

Les 4 puits doivent également être curés car le barrage qui donne la source d’eau s’ensable progressivement et s’assèche à cause des effets du dérèglement climatique.

Alizeta Sawadogo est une agricultrice au Burkino Faso. Elle a 55 ans, est veuve et mère de 8 enfants. Toute sa vie, Alizeta a pratiqué l’agriculture et cultivé des céréales. Mais les rendements sont de plus en plus faibles en raison des effets du changement climatique. Les saisons changent progressivement. Il y a de moins en moins de pluies et la saison sèche est plus longue et plus intense.

Avec le soutien des ONG ATAD et OXFAM, Alizeta a appris des techniques horticoles pour diversifier ses activités. Elle a obtenu une parcelle de terre dans une ferme collective gérée par l’ATAD. 

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